COEXISTENCE: Junseok MO, Myoungnam KIM, Titane Greindl

5 - 21 Décembre 2019

Junseok MO: Mon travail vise à trouver la possibilité de vivre avec autrui par la sculpture linéaire.

Ces habitations représentent l’humain, elles sont construites sans murs entre elles. Elles sont
transparentes. De l’extérieur il semble qu’il y aient beaucoup des maisons, mais il y a un espace
commun à l’intérieur. Ainsi, même si les personnes sont différentes par leurs caractéristiques et leur apparence, elles peuvent, lorsqu’elles se comprennent, vivre ensemble et former une communauté.


Myoungnam KIM: Avec la série “Sumukhwa”, aquarelle à l’encre de Chine, Myoungnam KIM renoue,
voire poursuit en 2019 la tradition stricte de l’école Coréenne du Dansaekhwa, littéralement le style
monochrome, inspirés par les maîtres des années 1960, et dont les représentants vivants sont :
Chung Sang-Hwa (1932), Ha Chong-Hyun (1935), Lee Ufan (1936) et Park SeoBo (1931).


Titane Greindl: Le Raku, résultat d'une technique d’émaillage d'origine coréenne, s'est développé
au Japon au XVIe siècle. Cette technique de cuisson était liée à la cérémonie du thé puisqu'on
émaillait et cuisait le bol avant d'y boire le thé. L'origine du mot est liée à cette cérémonie.” Taiko,
maître de la cérémonie du thé, a offert un sceau d'or gravé d'un idéogramme au Coréen Chôjiro Raku, fils du potier coréen Ameya , en 1598.